Les occupants illégaux des plages le long des côtes togolaises ont jusqu’à fin février 2021 donc pour libérer les espaces. C’est ce qu’a indiqué lundi un communiqué conjoint, les ministres chargés de l’environnement, des infrastructures et de l’urbanisme.
« Ces occupations du domaine public maritime sont contraires aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur », ont indiqué les ministres.
Et de rappeler que « le domaine public maritime qui contient outre la mer, les lagunes, les étangs salés, les fleuves, les rivières navigables, est inaliénable ».
« aucun individu ne peut se prémunir ou se prévaloir d’un titre foncier ou d’un droit de propriété quelconque », a averti le communiqué.
Un délai de six (6) mois étant donné à ces occupants, les installations anarchiques sur le littoral des côtes togolaises devraient disparaître d’ici fin février prochain. L’idée est maintenir le littoral propre.