L’ANC retire ses représentants de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) et de ses démembrements. Pourtant, malgré cette décision, des noms figurent encore sur les listes officielles. Certains de ces représentants sont même inconnus du parti. Face à cette situation, l’ANC retire ses représentants officiellement et demande leur suppression immédiate.
Dans une lettre adressée à la CENI, le parti affirme son refus de participer aux élections sénatoriales. Il dénonce un processus antidémocratique et non conforme à la Constitution de 1992. L’ANC exige que son nom ne soit plus utilisé et refuse toute implication.
Selon le parti, ces élections instaureraient une république illégitime. Il appelle donc les autorités togolaises à respecter son choix et à ne pas imposer de représentants en son nom.
Cette affaire soulève des doutes sur la transparence du processus électoral au Togo. En se retirant, l’ANC affirme son opposition et conteste la légitimité du scrutin.
Cette décision risque d’avoir un impact sur l’élection. Elle pourrait aussi intensifier les débats autour de son organisation et de son déroulement.
