Le climat a radicalement changé depuis les précédentes élections présidentielles. Le climat semble apaisé. Aucun incident signalé depuis l’ouverture de la campagne le 6 février dernier.
Les militants ont sans doute muri et les états-majors des partis ont sans doute compris que la meilleure façon de séduire les électeurs était d’éviter les violences et l’agressivité verbale.
C’est un bon signe pour la démocratie togolaise.
Ce jeudi à Kpota-Djifa (Lomé), la rencontre fortuite ente sympathisants d’UNIR (majorité présidentielle) et du Pacte Socialiste pour le Renouveau (PSR, opposition) a été courtoise et même fraternelle.
Aucun n’est arrivé à convaincre l’autre, mais les échanges animés ont été certainement constructifs.
Si UNIR a déployé la grosse artillerie avec des meetings géants à travers tout le pays, la campagne de Komi Wolou est plus modeste. Elle consiste essentiellement par du porte à porte dans la capitale et dans les villes de l’intérieur et des visites sur les marchés.
M. Wolou s’est rendu dans l’après-midi à Vogan (préfecture de Vo).
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